From A - People I've met - to Zee

Zakat

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An ode to all the people I have encountered in my life till now and whom I miss dearly...

Hans Kumar Heeramun

@HansConsciousness Is that your name up above?

If so, then you were one of my acquaintances, if not friends, when we were both around nine years old or something. :)

Anybody's free to contribute benevolently.
 
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Zakat

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Béatrice once had a crush on me at around the same time, nine years of age during the mid-early 90s.

We once spoke on the telephone line of Alexander Graham Bell's invention.

@90sWereBetter indeed!
 
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Zakat

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Arthur Thomasse was somebody I knew only by name when I was around 16 or something.
 

Zakat

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Carolyn Grant was a high school crush who ended up becoming somebody I totally ignored thereafter.

Trust they are all feeling peaceful...
 

Zakat

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Miss Mary-Jane Koon Po Yuen (now Mrs. Sedun, happily married in Australia)

One of the most attractive human beings I ever met...

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Josette Koon, her mom.

I actually do believe she answered my call to her daughter once and/or twice when (1999) the latter was around fourteen or something.
:)

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Josette Koon - devoted to old people - Mauritian Newspaper Article (French)

Josette Koon aurait pu continuer à mener la vie de château dans sa grande maison de Baie-du-Tombeau en se remémorant les meilleurs moments de sa vie tels que la naissance de ses enfants, ses voyages et autres sorties avec son groupe d’amies, les victoires hippiques passées de l’écurie de son mari Philippe ou encore les triomphes de ce dernier aux tournois de golf. Or, cette femme, qui vit avec son temps, a une dévotion particulière pour les personnes âgées et a transformé son lieu de vie en maison de retraite.

Josette Koon paraît plus jeune que son âge réel et fait montre d’une belle énergie, s’excusant de temps à autre pour aller répondre au téléphone, pour aller jeter un coup d’œil à l’un ou l’autre résident ou voir ce qui se passe en cuisine. Son masque ne quitte pas son visage, même au cours de l’entretien. Elle l’enlève à contrecoeur, rien que pour la photo. Pour elle, c’est une question de respect des consignes gouvernementales par rapport aux maisons de retraite et de discipline de vie afin de ne pas ramener, lors de ses rares sorties de l’établissement, un virus quelconque, qui pourrait contaminer ses chers résidents. Lorsqu’on lui demande quel est son secret de jouvence, elle réplique : «c’est la joie de vivre de mes résidents qui me garde jeune».

Josette Koon, née Chan Foo Young, a grandi dans le quartier chinois à Port-Louis, plus précisément à la rue La Paix. Les Chan Foo Young louent une maison dans une cour où vivent plusieurs autres locataires dont l’oncle de Philippe Koon. Elle est l’aînée de cinq enfants. Young Tze Fee, son père, originaire de Chine, était un chef de cuisine réputé. On l’appelait d’ailleurs See Foo, qui signifie cuisinier. Il a exercé dans plusieurs restaurants de Chinatown, notamment chez Lai Min, Gro Piti, ONU et à sa retraite chez Charlie. Appelée à dire s’il régalait sa famille, notre interlocutrice réplique que les cordonniers étant toujours les plus mal chaussés, «il cuisinait pour tout le monde et pas pour nous. C’est ma mère Ah Fee qui cuisinait pour la famille et quand j’ai été en âge de l’aider, je l’ai fait.»

Attachement à sa grand-mère
Josette Koon fréquente l’école Notre-Dame-de-la-Paix R.C.A. Elle est fascinée par l’habit des religieuses qu’elle côtoie, si bien que vers neuf ans, elle se dit que la vie religieuse pourrait peut-être lui convenir plus tard. Chaque jour, lorsqu’elle sort de l’école, elle dépose son sac à la maison et court à la rue David voir sa ‘Popo’ (grand-mère) octogénaire, qui est asthmatique et qui s’emmêle un peu les pinceaux avec ses médicaments. Josette Koon met de l’ordre dans la maison, y compris dans les médicaments pour que sa Popo s’y retrouve. «De tous les enfants, j’étais sa préférée. Le samedi, elle m’emmenait au Cinéma des Familles voir les films indiens», raconte notre interlocutrice d’une voix attendrie. Quand sa Popo meurt, elle vit un déchirement.

Elle fait ses études secondaires au collège London et au contact du recteur, feu Harold Chan Lam, cette femme qui a aujourd’hui un caractère bien trempé, apprend la discipline qu’elle goûtait déjà à la maison car son père était très strict. Le bureau de Philippe Koon se trouve en face de la maison occupée par sa famille. Ce qu’elle ignore et qu’elle apprendra plus tard, c’est que Philippe Koon, qui a pratiquement le même âge qu’elle, l’a remarquée et voudrait faire sa connaissance. L’astuce trouvée par le jeune homme est de venir régulièrement voir son oncle pour pouvoir la voir et échanger quelques mots avec elle. Un jour Philippe Koon délègue son frère pour l’inviter à un bal à l’hôtel Arc-en-Ciel à Baie-du-Tombeau. La maman de Josette réussit à persuader son père de la laisser s’y rendre. Lorsqu’elle complète ses études secondaires, Harold Chan Lam la recrute comme secrétaire administrative. Elle a à sa charge les classes de Form II et III. Parmi ses responsabilités, elle doit recueillir les frais de scolarité des élèves et redéployer les enseignants dans d’autres classes en cas d’absence de leurs collègues.

Comme Josette Koon aime danser, elle va souvent aux bals avec ses amies et y retrouve Philippe Koon. Ils font plus ample connaissance et l’attirance mutuelle du départ mue en amour profond. Il demande sa main et leurs familles respectives acceptent. En 1976, ils vont s’installer à Taiwan où Philippe Koon agit comme représentant pour une compagnie de textile auprès des pays africains francophones. Ils se marient le 14 janvier 1978. Son mari en profite pour prendre un cours de coupe et de patronage car ils songent à regagner Maurice après deux ans, d’autant plus que Josette Koon est enceinte de son premier enfant.

Une famille nombreuse
Rentrés au pays, Philippe Koon ouvre son usine de fabrication de t-shirts pour l’exportation, à savoir St Malo Exports à Baie-du-Tombeau, et elle met au monde leur aînée Stéphanie. Bien que le collège London la relance pour qu’elle récupère son poste, Josette Koon préfère être femme au foyer et prendre soin de son bébé. Comme elle veut avoir plusieurs enfants, ils font construire une très grande maison sur un terrain de 525 toises à la rue Begonia à Baie-du-Tombeau. Elle donne quatre autres enfants à Philippe Koon, soit Jimmy, Doreen, Mary-Jane et Anthony, aujourd’hui adultes. Tous les enfants Koon ont fait des études supérieures à ’étranger. Jimmy qui avait lancé les glaces aux fruits Snowow, business mis à mort par la pandémie du Covid-19, s’est établi à Taiwan. Amateur de golf comme son père, il est désormais propriétaire de sa propre entreprise de fixation de clubs de golf. Doreen, mariée à un Australien, s’est spécialisée dans la confection de pâtisseries saines, soit sans gluten et sans additifs chimiques alors que Mary-Jane, mariée à un Australien, bouge de ville en ville au gré des affectations de son mari, qui est dans l’aviation militaire. Stéphanie, qui est mariée à un Anglais, gère une entreprise en Grande Bretagne. Le seul de leurs enfants à être resté à Maurice est leur benjamin Anthony, qui gère sa propre usine de textile nommée Alto Rio.

Josette Koon, qui est très patiente avec les personnes âgées, a recueilli son vieux papa chez elle en semaine et s’est occupée de lui pendant trois ans et ce, jusqu’à sa mort. En week-end, elle soufflait un peu car il allait chez ses autres enfants. «Je n’ai pas eu de problèmes avec lui, bien qu’il faisait parfois des bêtises dues à l’âge comme par exemple, persister à arroser des fleurs artificielles»

Leurs enfants établis à l’étranger n’ayant aucune intention de revenir au pays pour de bon et leur benjamin vivant avec sa copine ailleurs, les Koon se retrouvent à deux dans cette grande maison. Ils songent d’abord à la vendre. Mais les acheteurs de biens immobiliers aussi grands sont rares. Et puis, en y réfléchissant bien, ils se disent qu’après tout, ils se sentent bien dans leur maison. Comme elle a un faible pour les personnes âgées et qu’elle sait y faire, Josette Koon pense alors à convertir la maison familiale en maison de retraite. Son mari adhère à l’idée et c’est ainsi qu’après avoir partitionné et réaménagé leur maison pour qu’elle soit adaptée aux personnes âgées mobiles comme alitées, ils ouvrent le Begonia Garden Retirement Home en décembre 2018.

Ne voulant pas laisser la gestion de l’établissement à d’autres, elle transforme une des chambres d’amis en lieu de vie pour elle et son mari. Ainsi, elle est sur place 24 heures sur 24. Elle ne sort que pour aller faire les courses pour les résidents ou le soir en week-end lors de réunions mensuelles de son groupe d’amis. «Je suis comme une chauve-souris», dit-elle en riant. Une de ses grandes joies de vivre est aussi ses dix petits-enfants.

Elle n’a jamais regretté sa décision de transformer sa belle maison en maison de retraite. «J’aime beaucoup ce que je fais. Mes filles craignaient que la charge soit trop lourde pour moi et les deux m’ont proposé de venir vivre chez elles à l’étranger. J’ai toujours refusé. Quand elles sont venues à Maurice récemment et qu’elles m’ont vue dans mon environnement habituel, heureuse et rendant les résidents heureux, elles ont compris mon entêtement à rester chez moi.»

Bien que ce soit prématuré de l’envisager, Josette Koon a le sentiment que dans ses vieux jours, elle abandonnera le statut de directrice pour devenir une résidente comme les autres au Begonia Garden Retirement Home. «Ainsi, je resterai alors chez moi et mon personnel prendra alors soin de moi…»

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Josette et Philippe Koon, jeunes mariés.

@Shuna
 
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Shuna

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Miss Mary-Jane Koon Po Yuen (now Mrs. Sedun, happily married in Australia)

One of the most attractive human beings I ever met...

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Josette Koon, her mom.

I actually do believe she answered my call to her daughter once and/or twice when (1999) the latter was around fourteen or something.
:)

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Josette Koon - devoted to old people - Mauritian Newspaper Article (French)

Josette Koon aurait pu continuer à mener la vie de château dans sa grande maison de Baie-du-Tombeau en se remémorant les meilleurs moments de sa vie tels que la naissance de ses enfants, ses voyages et autres sorties avec son groupe d’amies, les victoires hippiques passées de l’écurie de son mari Philippe ou encore les triomphes de ce dernier aux tournois de golf. Or, cette femme, qui vit avec son temps, a une dévotion particulière pour les personnes âgées et a transformé son lieu de vie en maison de retraite.

Josette Koon paraît plus jeune que son âge réel et fait montre d’une belle énergie, s’excusant de temps à autre pour aller répondre au téléphone, pour aller jeter un coup d’œil à l’un ou l’autre résident ou voir ce qui se passe en cuisine. Son masque ne quitte pas son visage, même au cours de l’entretien. Elle l’enlève à contrecoeur, rien que pour la photo. Pour elle, c’est une question de respect des consignes gouvernementales par rapport aux maisons de retraite et de discipline de vie afin de ne pas ramener, lors de ses rares sorties de l’établissement, un virus quelconque, qui pourrait contaminer ses chers résidents. Lorsqu’on lui demande quel est son secret de jouvence, elle réplique : «c’est la joie de vivre de mes résidents qui me garde jeune».

Josette Koon, née Chan Foo Young, a grandi dans le quartier chinois à Port-Louis, plus précisément à la rue La Paix. Les Chan Foo Young louent une maison dans une cour où vivent plusieurs autres locataires dont l’oncle de Philippe Koon. Elle est l’aînée de cinq enfants. Young Tze Fee, son père, originaire de Chine, était un chef de cuisine réputé. On l’appelait d’ailleurs See Foo, qui signifie cuisinier. Il a exercé dans plusieurs restaurants de Chinatown, notamment chez Lai Min, Gro Piti, ONU et à sa retraite chez Charlie. Appelée à dire s’il régalait sa famille, notre interlocutrice réplique que les cordonniers étant toujours les plus mal chaussés, «il cuisinait pour tout le monde et pas pour nous. C’est ma mère Ah Fee qui cuisinait pour la famille et quand j’ai été en âge de l’aider, je l’ai fait.»

Attachement à sa grand-mère
Josette Koon fréquente l’école Notre-Dame-de-la-Paix R.C.A. Elle est fascinée par l’habit des religieuses qu’elle côtoie, si bien que vers neuf ans, elle se dit que la vie religieuse pourrait peut-être lui convenir plus tard. Chaque jour, lorsqu’elle sort de l’école, elle dépose son sac à la maison et court à la rue David voir sa ‘Popo’ (grand-mère) octogénaire, qui est asthmatique et qui s’emmêle un peu les pinceaux avec ses médicaments. Josette Koon met de l’ordre dans la maison, y compris dans les médicaments pour que sa Popo s’y retrouve. «De tous les enfants, j’étais sa préférée. Le samedi, elle m’emmenait au Cinéma des Familles voir les films indiens», raconte notre interlocutrice d’une voix attendrie. Quand sa Popo meurt, elle vit un déchirement.

Elle fait ses études secondaires au collège London et au contact du recteur, feu Harold Chan Lam, cette femme qui a aujourd’hui un caractère bien trempé, apprend la discipline qu’elle goûtait déjà à la maison car son père était très strict. Le bureau de Philippe Koon se trouve en face de la maison occupée par sa famille. Ce qu’elle ignore et qu’elle apprendra plus tard, c’est que Philippe Koon, qui a pratiquement le même âge qu’elle, l’a remarquée et voudrait faire sa connaissance. L’astuce trouvée par le jeune homme est de venir régulièrement voir son oncle pour pouvoir la voir et échanger quelques mots avec elle. Un jour Philippe Koon délègue son frère pour l’inviter à un bal à l’hôtel Arc-en-Ciel à Baie-du-Tombeau. La maman de Josette réussit à persuader son père de la laisser s’y rendre. Lorsqu’elle complète ses études secondaires, Harold Chan Lam la recrute comme secrétaire administrative. Elle a à sa charge les classes de Form II et III. Parmi ses responsabilités, elle doit recueillir les frais de scolarité des élèves et redéployer les enseignants dans d’autres classes en cas d’absence de leurs collègues.

Comme Josette Koon aime danser, elle va souvent aux bals avec ses amies et y retrouve Philippe Koon. Ils font plus ample connaissance et l’attirance mutuelle du départ mue en amour profond. Il demande sa main et leurs familles respectives acceptent. En 1976, ils vont s’installer à Taiwan où Philippe Koon agit comme représentant pour une compagnie de textile auprès des pays africains francophones. Ils se marient le 14 janvier 1978. Son mari en profite pour prendre un cours de coupe et de patronage car ils songent à regagner Maurice après deux ans, d’autant plus que Josette Koon est enceinte de son premier enfant.

Une famille nombreuse
Rentrés au pays, Philippe Koon ouvre son usine de fabrication de t-shirts pour l’exportation, à savoir St Malo Exports à Baie-du-Tombeau, et elle met au monde leur aînée Stéphanie. Bien que le collège London la relance pour qu’elle récupère son poste, Josette Koon préfère être femme au foyer et prendre soin de son bébé. Comme elle veut avoir plusieurs enfants, ils font construire une très grande maison sur un terrain de 525 toises à la rue Begonia à Baie-du-Tombeau. Elle donne quatre autres enfants à Philippe Koon, soit Jimmy, Doreen, Mary-Jane et Anthony, aujourd’hui adultes. Tous les enfants Koon ont fait des études supérieures à ’étranger. Jimmy qui avait lancé les glaces aux fruits Snowow, business mis à mort par la pandémie du Covid-19, s’est établi à Taiwan. Amateur de golf comme son père, il est désormais propriétaire de sa propre entreprise de fixation de clubs de golf. Doreen, mariée à un Australien, s’est spécialisée dans la confection de pâtisseries saines, soit sans gluten et sans additifs chimiques alors que Mary-Jane, mariée à un Australien, bouge de ville en ville au gré des affectations de son mari, qui est dans l’aviation militaire. Stéphanie, qui est mariée à un Anglais, gère une entreprise en Grande Bretagne. Le seul de leurs enfants à être resté à Maurice est leur benjamin Anthony, qui gère sa propre usine de textile nommée Alto Rio.

Josette Koon, qui est très patiente avec les personnes âgées, a recueilli son vieux papa chez elle en semaine et s’est occupée de lui pendant trois ans et ce, jusqu’à sa mort. En week-end, elle soufflait un peu car il allait chez ses autres enfants. «Je n’ai pas eu de problèmes avec lui, bien qu’il faisait parfois des bêtises dues à l’âge comme par exemple, persister à arroser des fleurs artificielles»

Leurs enfants établis à l’étranger n’ayant aucune intention de revenir au pays pour de bon et leur benjamin vivant avec sa copine ailleurs, les Koon se retrouvent à deux dans cette grande maison. Ils songent d’abord à la vendre. Mais les acheteurs de biens immobiliers aussi grands sont rares. Et puis, en y réfléchissant bien, ils se disent qu’après tout, ils se sentent bien dans leur maison. Comme elle a un faible pour les personnes âgées et qu’elle sait y faire, Josette Koon pense alors à convertir la maison familiale en maison de retraite. Son mari adhère à l’idée et c’est ainsi qu’après avoir partitionné et réaménagé leur maison pour qu’elle soit adaptée aux personnes âgées mobiles comme alitées, ils ouvrent le Begonia Garden Retirement Home en décembre 2018.

Ne voulant pas laisser la gestion de l’établissement à d’autres, elle transforme une des chambres d’amis en lieu de vie pour elle et son mari. Ainsi, elle est sur place 24 heures sur 24. Elle ne sort que pour aller faire les courses pour les résidents ou le soir en week-end lors de réunions mensuelles de son groupe d’amis. «Je suis comme une chauve-souris», dit-elle en riant. Une de ses grandes joies de vivre est aussi ses dix petits-enfants.

Elle n’a jamais regretté sa décision de transformer sa belle maison en maison de retraite. «J’aime beaucoup ce que je fais. Mes filles craignaient que la charge soit trop lourde pour moi et les deux m’ont proposé de venir vivre chez elles à l’étranger. J’ai toujours refusé. Quand elles sont venues à Maurice récemment et qu’elles m’ont vue dans mon environnement habituel, heureuse et rendant les résidents heureux, elles ont compris mon entêtement à rester chez moi.»

Bien que ce soit prématuré de l’envisager, Josette Koon a le sentiment que dans ses vieux jours, elle abandonnera le statut de directrice pour devenir une résidente comme les autres au Begonia Garden Retirement Home. «Ainsi, je resterai alors chez moi et mon personnel prendra alors soin de moi…»

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Josette et Philippe Koon, jeunes mariés.

@Shuna
Thanks, the article was finally back, but thanks, that will avoid the problem.
 

Zakat

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My younger brother who recently passed away.

My parents and my older brother.

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I just had a connection problem.

François Damien is a Belgian comedian and actor.
Okay, I am glad the problem has now been solved.

And yes, you are right, and thanks for the reply. :)
 

Zakat

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Vuyu and any South African I've ever met.

Vuyu reminds me of any bilingual person I've ever met too in the sense that "Vous" is French for what "You" is in English...

Maybe Vuyu's name was actually spelled as "Vous-You" and maybe I will never know...
 

Zakat

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Valam, a South African inmate at the Malmesbury jail facility in Cape Town, South Africa...
 
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Vuyu and any South African I've ever met.

Vuyu reminds me of any bilingual person I've ever met too in the sense that "Vous" is French for what "You" is in English...

Maybe Vuyu's name was actually spelled as "Vous-You" and maybe I will never know...
Did you ever meet Elon Musk? Alms for the poor. We need alms for the poor.
 
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Nope. And is it all about the money?
But I listened to Elon Musk biography audio book and he was riding Greyhound buses when he first came to North America and also had to fight gangs in South Africa to survive.
 

Zakat

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Mary from the United States of America whom I used to chat with on MSN Messenger back in like between years 2000-2005 and whom I miss dearly.

Hope you read this and just so you know, I'm still here in Mauritius...
 

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Adrianna Siow Youn

A conciliatress.

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People's Court

Lok Adalat means People's Court. It is a forum where disputes/cases pending in Court of Laws or at pre-litigative stages are settled/compromised amicably. In recent times, it has gained tremendous popularity as a mean of Alternative Disputes Resolutions (ADR).

LOK ADALAT - TSLSA
 
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